Selon une étude de Credit Suisse, les femmes pourraient avoir plus de marge de manœuvre si le 3e pilier était plus souple.
Un accès plus flexible au 3e pilier pourrait permettre de mieux combler les «trous de cotisations» dus aux aléas de la vie et de bénéficier d’une retraite plus confortable, suggère une étude de Credit Suisse. Les femmes notamment auraient plus de marge de manoeuvre.
Environ 55% des salariés suisses cotisent régulièrement au 3e pilier (prévoyance privée 3a), une épargne déductible des impôts qui complète, de façon facultative, le 1er pilier (AVS) et la prévoyance professionnelle obligatoire (2e pilier), selon les chiffres officiels de 2015 mis en lumière jeudi par Credit Suisse.
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